Lundi
21 Mars
On a gagné trois mois soixante
quinze !
Nous voilà fins boostés les gars.
Et les filles mais on verra ça plus tard.
C’est à dire qu’on s’en
revient tout juste d’une semaine de vacances
à se pignoler tout doucement sur nos instruments
favoris, c’était divin,
et à Vagney, et Vagney, on vous dira pas
où c’est parce que sinon vous allez
tous y aller bande de chacals.
Je voudrais tout d’abord et pour commencer
et même si c’est pareil, dédier
cette semaine à Monsieur Georges Moderne.
Cette histoire était un super bon plan.
Dans quelques temps et si dieu le veut mais làà…
…D’ici
moins d’un an donc vous devriez pouvoir
vous délecter chers petits amis d’un
plus que probablement magnifique témoignage
cinématographique de ce trop court séjour
filmé en panavision pellicule Kodak (maintenant
que j’ai cité votre nom, vous pouvez
m’en envoyer des caisses ?) avec trois cameras,
douze preneurs de son, des lumières, des
habilleuses, des coiffeuses pour De Graves, des
costumières, pas de maquilleuse, des producteurs
très très biens et des assistants
pour le café, prononcez cafai..
En gros, c’est du super 8 et c’est
pas pour demain.
Mais en attendant et parce qu’on vous aime
bien quand même, y’a un peu
d’image, et de son aussi. Par contre
on vous dit pas où c’est sur le site,
cherchez un peu, ça vous fera les pieds.
Ca devrait pas être trop dur non plus.
Alors
bien sûr, toute cette affaire n’aurait
pas été possible sans pas mal de
gens, nous y voilà. J’ai pas non
plus une semaine devant moi pour vous causer de
Rudy, alors nous allons simplement
nous contenter ici de lui dire merci et de pas
trop s’inquiéter ; Michael Bolton,
y’a pire dans la vie !
Merci à toi, et à Nathalie,
à la famille Orivel :
Elisa, Christian, Géraldine, Gaétan,
Philippe (absent mais présent
quand même) , et puis Anne.
Encore
des merci au pluriel et dans le désordre
pour Fabrice, Gabriel, Ratman, Serge,
Farida, Corinne (tit goutte), toute l’équipe
du concert, Leilla (une autre),
Anita (Vincent,
ton manche a besoin d’être vu par
un pro), Lionel, radio Guémozot
et tous les autres parce que forcement
on en oublie, excusez nous madame la boulangère.
Quel
temps !
Quel joli petit théâtre,
Quelle jolie petite Saint Patrick !
Quelle belle musique, quel pied, franchement,
on aurait pu croire au bonheur, alors à
bientôt tous,
on se reverra je sais pas quand, c’est ça
qu’est dommage.
A
part ça, les dates tombent les
unes après les autres ce qui reste
somme toute signe que tout va bien puisqu’on
voit rarement l’inverse, encore une bien
belle phrase pour rien dire donc, si ce n’est
pour signifier à toute la planète
que l’été s’ra chaud
dans les tee shirts et les maillots des traîtres.
N.
News
Mars 2005 - Page 2
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